Spécialisé dans l’accompagnement des entreprises dans l’atteinte de performances leur permettant d’être compétitives sur le marché économique le cabinet Valoris conseils mise dans un prioritairement sur la formalisation de celles-ci, une condition indispensable pour déployer son accompagnement. Ainsi, il a saisi l’organisation des premières journées des femmes entreprenantes et battantes (J-Feb) pour rencontrer ces dernières afin d’en convaincre certaines à faire le pas de la formalisation. « Nous sommes venus à ces journées là pour rencontrer toutes les femmes qui ont une activité mais qui ne sont pas légalement constituées, mais également pour leur proposer notre aide dans la gestion de leurs comptabilité », nous explique Bénédicte Tehe, responsable commercial du cabinet.
En effet, le cabinet se présente comme une réponse aux préoccupations des dirigeants d’entreprises et entrepreneurs qui souhaitent prioriser la bonne gouvernance comme objectif dans le management de leurs entreprises. Dirigé par de jeunes consultants experts dans leurs domaines respectifs, Valoris Conseils propose un modèle d’accompagnement des PME bâti sur une trilogie managériale : Financière, Juridique et Formation. Il veut renforcer les compétences des dirigeants d’entreprise et de leur personnel, baliser les contours juridiques autour de leurs activités commerciales et les orienter vers une meilleure gestion financière crédible qui encouragerait de potentiels partenaires comme l’indique son site internet que nous avons consulté par la suite.
Le cabinet Valoris conseil était fortement représenté le mois dernier à l’occasion de la première édition des journées des femmes entreprenantes et battantes (JFeb 2023) qui s’est tenue au Centre sportif et des tics ivoiro-coreen d’Adjamé Cocody. Objectif, convaincre des femmes entrepreneures à formaliser leurs entreprises.
Sur le site des journées Feb, l’on pouvait se rendre compte de la présence d’un grand nombre de femmes dont les activités se trouvent encore dans l’informel. Il s’agit pour la plupart de femmes commerçantes ou de micro-entrepreneures. C’est une parfaite cible pour le jeune cabinet. « Avoir une entreprise, c’est bien, mais être légalement constituée c’est encore mieux car cela vous permet de participer à des appels d’offres et de solliciter des prêts auprès d’institutions bancaires. Il faut donc que les femmes n’hésitent pas opter pour la formalisation de leurs activités », tel est le message que Bénédicte et ses collègues sont venus communiqué aux femmes entrepreneures ce jour là.